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Dimanche 30 octobre aura lieu le second tour de l’élection présidentielle brésilienne, où s’affronteront le sortant Bolsonaro et le candidat du parti des travailleurs et ancien président Lula. Durant son mandat, Jair Bolsonaro a été sous le feu des projecteurs pour sa gestion du COVID, ses remarques sexistes, racistes et homophobes, mais revenons sur son bilan environnemental apocalyptique.
Dès son entrée en fonction, le 1 janvier 2019, Bolsonaro a dépouillé plusieurs organes environnementaux de leurs fonctions : le ministère de l’environnement n’a plus la main sur la gestion des ressources hydrauliques ni sur les questions liées à la déforestation. Ce sont désormais des prérogatives du ministère de l’Agriculture (dont les liens avec l’agrobusiness sont renforcés sous la présidence Bolsonaro), du ministère du développement rural ou elles sont tout simplement supprimées. Le Président sortant a également nommé à la tête de l’IBAMA (l’Agence Fédérale de protection de l’environnement), du ministère de l’environnement et de l’Institut Chico Mendes pour la préservation de la biodiversité des militaires et des conspirationnistes d’extrême droite favorable à l’exploitation de la Nature.
Entre 2018 et 2022, le gouvernement Bolsonaro a permis l’entrée de plus de 1 500 nouveaux pesticides sur le marché des produits agrochimiques au Brésil, soit 40 % des pesticides aujourd’hui disponibles sur le marché brésilien. Ces pesticides sont utilisés pour la culture du soja, du maïs, du coton, mais aussi dans des cas de plus en plus nombreux, pour déforester en passant au travers des mailles des filets de la surveillance satellite de l’IBAMA .
Amazonie
Les chiffres de la déforestation sont catastrophiques. Selon l’institut de recherches spatiales brésilien, la déforestation moyenne annuelle est en hausse de 75 % par rapport à la décennie précédant le mandat de Bolsonaro. Dans une étude menée par le média indépendant Sinal do Fumaca, des chercheurs analysent les responsabilités politiques de ce désastre environnemental au prisme du Pacote da Destruição, 4 mesures prises sous Bolsonaro, dont l’impact sur le territoire de l’Amazonie Légale a été désastreux. Ces mesures comprennent des récupérations de territoires à des fins agricoles, l’exemption d’études d’impact environnemental pour certains projets industriels et agricoles et l’affaiblissement des garanties sur les territoires autochtones.
Impunité pour les crimes contre l’environnement
L’affaiblissement des institutions chargées de la protection de l’environnement et le manque de moyens mis à leur disposition couplé à une direction laxiste et préoccupée par les profits qu’il est possible de tirer de la nature a entraîné une chute drastique des poursuites pour les faits de déforestation illégale. En effet, selon une étude publiée dans la revue Environmental Research Letters, seules 1,3% des alertes de déforestation ont donné lieu à une enquête de la part des institutions fédérales brésilienne
Peuples autochtones
Si Bolsonaro a fait preuve de négligence voire d’agressivité dans sa gestion des ressources naturelles du Brésil, les peuples autochtones ont aussi vu leurs conditions d’existence s’empirer. Le gouvernement a effectivement soutenu les agriculteurs et les orpailleurs qui se sont appropriés des terres autochtones, remettant en cause la Constitution de 1988 qui protège les territoires et les droits de ces peuples. Bolsonaro a d’ailleurs placé le Funai (Fondation nationale de l’Indien) sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et a supprimé son financement, condamnant des dizaines de milliers de personnes à la peur de l’expropriation et attaquant le droit de ces peuples à un environnement sain. Il fait l’objet d’une saisine de la CPI par le chef Raoni Metuktire pour crime contre l’humanité à l’égard des peuples autochtones.
Ce qui se joue dans l’élection de dimanche est crucial. En 2021, une étude publiée dans la revue Frontiers in Forest and Global Change révélait que l’Amazonie était en train de passer de puits de carbone à source d’émissions. Effectivement, les feux à répétition, l’installation de monocultures et l’élevage ont compromis le fonctionnement de l’écosystème amazonien. En cas de victoire, Lula a promis de faire revenir la question climatique au centre de la politique internationale et nationale du Brésil.
Rédacteur : Lila Olkinuora
Willow Project, un désastre écologique et social qui vient d’être approuvé par le gouvernement Biden.
Porté par le géant texan ConocoPhilips (une multinationale américaine spécialisée dans l`extraction, le transport et la transformation du pétrole), ce projet a pour but d’extraire 576 millions de barils de pétrole sur environ trente ans, selon les estimations. Cela aura lieu dans une zone appelée la réserve nationale de pétrole, les terres en dans le nord-ouest de l’Alaska appartenant à l’Etat Américain.
Approuvé dans un premier temps par l’administration Trump, il avait été interrompu en 2021 par un juge, qui avait requis un nouvel examen du gouvernement en proposant une alternative : 3 zones de forage au lieu de 5. Joe Biden a finalement approuvé, revenant ainsi sur sa promesse de campagne de ne pas entamer de nouveaux projets de la sorte.
Cette approbation est une claque dans la lutte contre le dérèglement climatique. En effet, ce projet générera 9,2 millions de tonnes d’équivalent CO2 par an et des conséquences importantes sur l’environnement, la sécurité et la santé (pollution de l’air, de l’eau, destruction de l’habitat…).
Néanmoins, Biden devrait également annoncer des restrictions sur Willow Project notamment :
- la limitation des futures concessions pétrolières dans la région, y compris dans l`ensemble de l`océan Arctique américain
- la protection de plus de 13 millions d`hectares dans la région contre de futurs forages
- des protections qui s`étendront aux habitats importants pour les grizzlis, les ours polaires, etc.
Sachant que le président a promis de réduire les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis de 50 % à 52 % d’ici à 2030, ces restrictions sont-elles suffisantes pour endiguer les conséquences profondes et importantes de Willow Project ?
✒️ : @loudba3
#biden #usa #etatsunis #ecologie #alaska #peteol #climat #urgenceclimatique #humeco #futur
Willow Project, un désastre écologique et social qui vient d’être approuvé par le gouvernement Biden.
Porté par le géant texan ConocoPhilips (une multinationale américaine spécialisée dans l`extraction, le transport et la transformation du pétrole), ce projet a pour but d’extraire 576 millions de barils de pétrole sur environ trente ans, selon les estimations. Cela aura lieu dans une zone appelée la réserve nationale de pétrole, les terres en dans le nord-ouest de l’Alaska appartenant à l’Etat Américain.
Approuvé dans un premier temps par l’administration Trump, il avait été interrompu en 2021 par un juge, qui avait requis un nouvel examen du gouvernement en proposant une alternative : 3 zones de forage au lieu de 5. Joe Biden a finalement approuvé, revenant ainsi sur sa promesse de campagne de ne pas entamer de nouveaux projets de la sorte.
Cette approbation est une claque dans la lutte contre le dérèglement climatique. En effet, ce projet générera 9,2 millions de tonnes d’équivalent CO2 par an et des conséquences importantes sur l’environnement, la sécurité et la santé (pollution de l’air, de l’eau, destruction de l’habitat…).
Néanmoins, Biden devrait également annoncer des restrictions sur Willow Project notamment :
- la limitation des futures concessions pétrolières dans la région, y compris dans l`ensemble de l`océan Arctique américain
- la protection de plus de 13 millions d`hectares dans la région contre de futurs forages
- des protections qui s`étendront aux habitats importants pour les grizzlis, les ours polaires, etc.
Sachant que le président a promis de réduire les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis de 50 % à 52 % d’ici à 2030, ces restrictions sont-elles suffisantes pour endiguer les conséquences profondes et importantes de Willow Project ?
✒️ : @loudba3
#biden #usa #etatsunis #ecologie #alaska #peteol #climat #urgenceclimatique #humeco #futur ...
Plusieurs élus de la majorité présidentielle ainsi que des membres de partis politiques d`opposition, notamment des membres des Républicains, du Rassemblement National et du Parti Socialiste, ont été révélés par @Mediapart comme étant des actionnaires de TotalEnergies. Parmi eux, on compte trois ministres en exercice : Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, Agnès Firmin Le Bodo, ministre chargée des Professions de santé, et Pap Ndiaye, ministre de l`Éducation nationale.
Les élus concernés possèdent des parts variables de TotalEnergies, allant de quelques centaines d`euros à plusieurs dizaines de milliers d`euros.
Les déclarations de patrimoine des député(e)s publiées en février par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) révèlent que douze d`entre eux et elles, principalement issus de la majorité présidentielle, ont des participations dans le groupe pétrolier TotalEnergies. La même situation est observée chez six membres du Sénat et trois ministres du gouvernement d`Élisabeth Borne. Alors que le dérèglement climatique s`accélère et que les débats sur les superprofits se multiplient, cette situation soulève des questions d`ordre déontologique et politique.
Source : libération
@rexachjose
#total #totalenergies #gouvernement #rn #france #pouvoir #climat #rechauffementclimatique #assembleenationale #humeco
Plusieurs élus de la majorité présidentielle ainsi que des membres de partis politiques d`opposition, notamment des membres des Républicains, du Rassemblement National et du Parti Socialiste, ont été révélés par @Mediapart comme étant des actionnaires de TotalEnergies. Parmi eux, on compte trois ministres en exercice : Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, Agnès Firmin Le Bodo, ministre chargée des Professions de santé, et Pap Ndiaye, ministre de l`Éducation nationale.
Les élus concernés possèdent des parts variables de TotalEnergies, allant de quelques centaines d`euros à plusieurs dizaines de milliers d`euros.
Les déclarations de patrimoine des député(e)s publiées en février par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) révèlent que douze d`entre eux et elles, principalement issus de la majorité présidentielle, ont des participations dans le groupe pétrolier TotalEnergies. La même situation est observée chez six membres du Sénat et trois ministres du gouvernement d`Élisabeth Borne. Alors que le dérèglement climatique s`accélère et que les débats sur les superprofits se multiplient, cette situation soulève des questions d`ordre déontologique et politique.
Source : libération
@rexachjose
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La situation en France est préoccupante avec plus de 5 millions de logement considérés comme des passoires thermiques. Ce phénomène a des conséquences dramatiques pour de nombreuses personnes qui sont contraintes de faire face à des factures d’énergie exorbitantes et de vivre dans des conditions de froid insupportables durant l’hiver.
Rendez-vous le jeudi 16 mars pour en savoir plus sur les passoires thermiques.
Journaliste : @rexachjose
#logement #climat #ecologie #Borne #passoirethermique #greve #fridaysforfuture #humour #froid #elisabethborne #gouvernement #reformedesretraites #493
La situation en France est préoccupante avec plus de 5 millions de logement considérés comme des passoires thermiques. Ce phénomène a des conséquences dramatiques pour de nombreuses personnes qui sont contraintes de faire face à des factures d’énergie exorbitantes et de vivre dans des conditions de froid insupportables durant l’hiver.
Rendez-vous le jeudi 16 mars pour en savoir plus sur les passoires thermiques.
Journaliste : @rexachjose
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En 2016, la station Métabief fait face à une problématique : réinvestir ou pas dans les remontées mécaniques.
Des études sont alors lancées pour savoir si le ski alpin est durable, si l’investissement sera amorti. Les données climatiques modélisées et météorologiques passées ont ainsi indiqué que le ski ne serait plus viable au cours de la décennie 2030-2040. A ce moment-là, la station a pris une décision irrévocable : acter la fin du ski alpin à l’horizon 2030-2035.
L’étape de transition à réellement commencé avec la création d’un pôle d’ingénierie en 2018. Un processus qui casse les silos avec une obligation de moyens et non de résultat. C’est cette approche qui vaut à la station la casquette de “pionnier”.
L’arrêt du ski alpin à court terme aurait été une catastrophe, car il faut savoir que le revenu majoritaire des stations est lié au tourisme du ski. Ils ont donc imaginé un nouveau modèle économique et ont anticipé au plus vite.
“Notre différence réside principalement dans notre affirmation que rien ne remplacera le ski et que pour ce faire, nous devons concentrer nos efforts sur le territoire dans son ensemble et non uniquement sur l’équipement ou la station” affirme Olivier Erard, animateur de la démarche de transition de la station de Métabief dans le Jura. C’est pourquoi, l’accent est mis sur la diversification des activités sportives, telles que le VTT, la randonnée ou encore le trail. C’est une démarche fondée sur le capital humain et des processus de coopération dans le but de construire une nouvelle économie - pensée sur la durée et pour l’ensemble du territoire.
Sources : Rapport de la cour des comptes - 2018, Actualité Ecologie
Redactrice : Louise Di Betta @loudba3
#ski #tourisme #neige #hiver #ecologie #climat #france #montagne #skidefond #randonnée #jura #france
En 2016, la station Métabief fait face à une problématique : réinvestir ou pas dans les remontées mécaniques.
Des études sont alors lancées pour savoir si le ski alpin est durable, si l’investissement sera amorti. Les données climatiques modélisées et météorologiques passées ont ainsi indiqué que le ski ne serait plus viable au cours de la décennie 2030-2040. A ce moment-là, la station a pris une décision irrévocable : acter la fin du ski alpin à l’horizon 2030-2035.
L’étape de transition à réellement commencé avec la création d’un pôle d’ingénierie en 2018. Un processus qui casse les silos avec une obligation de moyens et non de résultat. C’est cette approche qui vaut à la station la casquette de “pionnier”.
L’arrêt du ski alpin à court terme aurait été une catastrophe, car il faut savoir que le revenu majoritaire des stations est lié au tourisme du ski. Ils ont donc imaginé un nouveau modèle économique et ont anticipé au plus vite.
“Notre différence réside principalement dans notre affirmation que rien ne remplacera le ski et que pour ce faire, nous devons concentrer nos efforts sur le territoire dans son ensemble et non uniquement sur l’équipement ou la station” affirme Olivier Erard, animateur de la démarche de transition de la station de Métabief dans le Jura. C’est pourquoi, l’accent est mis sur la diversification des activités sportives, telles que le VTT, la randonnée ou encore le trail. C’est une démarche fondée sur le capital humain et des processus de coopération dans le but de construire une nouvelle économie - pensée sur la durée et pour l’ensemble du territoire.
Sources : Rapport de la cour des comptes - 2018, Actualité Ecologie
Redactrice : Louise Di Betta @loudba3
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Vendredi 3 mars 2023, lors d’un discours prononcé à la cérémonie de remise des diplômes de bacheliers à l’UNamur, en Belgique, Louis Droussin, étudiant en sciences politiques, a appelé ses camarades à se mobiliser et à désobéir face à la crise sociale et écologique que nous traversons.
Une invitation qui fait écho à « l’appel à déserter » lancé par des étudiant·es d’Agro Paris Tech en mai dernier, mais également au mouvement plus large de contestations qui grandit dans les grandes écoles et universités.
#université #belgique #agriparistech #ecologie #urgenceclimatique #france #totalenergies #etude #etudiant
Vendredi 3 mars 2023, lors d’un discours prononcé à la cérémonie de remise des diplômes de bacheliers à l’UNamur, en Belgique, Louis Droussin, étudiant en sciences politiques, a appelé ses camarades à se mobiliser et à désobéir face à la crise sociale et écologique que nous traversons.
Une invitation qui fait écho à « l’appel à déserter » lancé par des étudiant·es d’Agro Paris Tech en mai dernier, mais également au mouvement plus large de contestations qui grandit dans les grandes écoles et universités.
#université #belgique #agriparistech #ecologie #urgenceclimatique #france #totalenergies #etude #etudiant ...
La situation en France est préoccupante avec plus de 5 millions de logement considérés comme des passoires thermiques. Ce phénomène a des conséquences dramatiques pour de nombreuses personnes qui sont contraintes de faire face à des factures d’énergie exorbitantes et de vivre dans des conditions de froid insupportables durant l’hiver.
Rendez-vous le jeudi 16 mars pour en savoir plus sur les passoires thermiques.
#logement #climat #ecologie #climatoceptique #passoirethermique #greve #fridaysforfuture #humour #froid #trump #pascalpraud
La situation en France est préoccupante avec plus de 5 millions de logement considérés comme des passoires thermiques. Ce phénomène a des conséquences dramatiques pour de nombreuses personnes qui sont contraintes de faire face à des factures d’énergie exorbitantes et de vivre dans des conditions de froid insupportables durant l’hiver.
Rendez-vous le jeudi 16 mars pour en savoir plus sur les passoires thermiques.
#logement #climat #ecologie #climatoceptique #passoirethermique #greve #fridaysforfuture #humour #froid #trump #pascalpraud ...
Comment tout à commencé pour @lejeuneengage ?
🎬On espère que ce nouveau format vous fait kiffer ! Dites nous en commentaire !
On en profite pour vous dire que si Johan Reboul est passé dans notre studio ce n’est pas pour rien 😈. Pas de spoil, à bientôt.
#nutella #chocolat #borneo #papaoutang #nocciolata #orangoutang #ecologie #juile #greve #agirpourleclimat
Comment tout à commencé pour @lejeuneengage ?
🎬On espère que ce nouveau format vous fait kiffer ! Dites nous en commentaire !
On en profite pour vous dire que si Johan Reboul est passé dans notre studio ce n’est pas pour rien 😈. Pas de spoil, à bientôt.
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Ce lundi 6 mars avait lieu au Parlement Européen à Bruxelles une action contre l’exploitation minière des fonds marins. Eurodéputés, activistes et citoyens appellent les gouvernements portugais, nééerlandais, italien et belge à rejoindre le moratoire conte l’exploitation minière des fonds marins.
Pour rappel, l’exploitation minière des fonds marins consiste à aller chercher au fond des océans des métaux rares. Or, les conséquences de cette exploitation sur la biodiversité et le climat risqueraient d’être massives et irréversibles. Des études scientifiques pour mesurer les impacts et agir en conséquence sont demandées
Journaliste : @ambre.mcn
#lookdown #fondmarin #belgique #bruxelles #minerals #minerais #ocean #animal #mer
Ce lundi 6 mars avait lieu au Parlement Européen à Bruxelles une action contre l’exploitation minière des fonds marins. Eurodéputés, activistes et citoyens appellent les gouvernements portugais, nééerlandais, italien et belge à rejoindre le moratoire conte l’exploitation minière des fonds marins.
Pour rappel, l’exploitation minière des fonds marins consiste à aller chercher au fond des océans des métaux rares. Or, les conséquences de cette exploitation sur la biodiversité et le climat risqueraient d’être massives et irréversibles. Des études scientifiques pour mesurer les impacts et agir en conséquence sont demandées
Journaliste : @ambre.mcn
#lookdown #fondmarin #belgique #bruxelles #minerals #minerais #ocean #animal #mer ...